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"Plus que l'air marin, la douceur angevine" ....
Il était une fois en province d'Anjou, la maison de Marie, nommée 'La Closeraie' (de closerie, petite maison entourée de murs et de roseraie...)...
Née d'une famille d'hôteliers et de restaurateurs, fille de jardinier,elle        décida d'ouvrir son jardin au public pour des causes caritatives et ainsi            faire partager les parfums,les couleurs et l'âme des roses anciennes et anglaises ; les visiteurs demandèrent à dormir parmi elles
afin d'être témoins,au lever du jour, de l'état de grâce rendu par
ses 320 rosiers en fleurs ; ainsi fut ouverte la suite d'hôtes
La Closeraie en Anjou baptisée Jane Austen', hommage au
romantisme absolu qui régnait en ces lieux... La chambre ne
fut pas moins que l'extension du jardin dans les murs de
l'ancienne longère aux volets bleu breton , havre de paix...
Mais le rêve de la jardinière était d'aller cultiver la rose sous
les embruns de la Bretagne Sud qui l'avait adoptée 30 ans plus tôt ; l'heure était venue de se retirer, emportant avec elle ses recettes, ses dentelles, les mots doux de ses hôtes et ses secrets d'art de vivre. Elle décida de se reposer, et à la douceur angevine, préféra pour le reste de son existence, l'air marin. Elle finit par trouver l'autre closeraie qui l'attendait, entourée d'hortensias, celle d'une grand-mère...qui s'appelait Rose, qui avait laissé son armoire de mariage pleine de souvenirs.      Tout était juste.   Elle y replanta un jardin, car Marie s'était promis en partant de ne jamais perdre en chemin les secrets transmis par la Fée qui s'était endormie durant 3 ans à ses côtés.

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L'histoire d'une fée, c'est...

Devant la maison il y a quelques décennies....

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